
Le Spectre Chantant d’El Panecillo
Une mélodie envoûtante de l’époque coloniale s’élève dans la nuit de Quito depuis le sommet de El Panecillo.
Le folklore équatorien est un mélange vibrant d'influences indigènes, espagnoles et africaines, reflétant le paysage culturel et géographique diversifié du pays. L'une des figures les plus connues de la mythologie équatorienne est "La Madre Agua", un esprit protecteur qui est censé résider dans les rivières, les lacs et les cascades. Selon la légende, La Madre Agua contrôle le flux de l'eau et protège ceux qui respectent son domaine, mais elle peut également apporter le danger à ceux qui méprisent ou polluent les eaux. Ce mythe met en lumière la profonde connexion que les Équatoriens entretiennent avec la nature, en particulier avec les rivières et les montagnes qui façonnent le terrain du pays.
Une autre figure significative est "El Diablo Huma", un esprit souvent associé aux célébrations traditionnelles de l'Inti Raymi, un festival indigène rendant hommage au dieu soleil. Le Diablo Huma, représenté avec un masque à double face, symbolise l'équilibre des opposés : le jour et la nuit, le bien et le mal. Pendant le festival, les interprètes portent des costumes colorés et dansent en hommage à cette figure, démontrant la fusion de la spiritualité indigène et de la célébration qui persiste dans la culture équatorienne aujourd'hui.
La légende de "La Dama Tapada" (La Dame Voilée) est une autre histoire populaire dans le folklore équatorien. On dit que La Dama Tapada est une femme mystérieuse et fantomatique qui apparaît tard dans la nuit, couvrant son visage d'un voile. Elle séduit les hommes par sa beauté et les attire dans des lieux isolés, pour ne révéler qu'un visage horrifiant sous son voile. Son histoire sert d'avertissement contre les dangers de la tentation et de l'aventure en solitaire la nuit.
Le folklore équatorien comprend également des récits sur les "Cadejos", des chiens surnaturels aux yeux rouges, similaires à ceux d'autres pays d'Amérique latine. Il existe deux types de Cadejos : un blanc qui protège les voyageurs et un noir qui apporte le malheur. Cette dualité reflète les thèmes du bien contre le mal, qui sont courants dans la narration équatorienne.
Les indigènes "Yumbo" de la région andine contribuent avec des histoires sur les "Tsáchila" et les "guérisseurs chamaniques", qui sont censés communiquer avec la nature et le monde spirituel pour guérir les maladies. Leurs rituels et traditions sont encore pratiqués aujourd'hui, soulignant le rôle de la sagesse ancestrale et de la guérison dans la culture équatorienne.
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